SUITE ENQUETE URGENTE


Bonjour chère ,
Suite à notre requête, je tiens a ce que vous nous excusez pour tout le désagrément que vous avez eu avec les arnaqueurs de notre pays la côte d'ivoire ceci dit une mauvaise image de notre pays. Par la suite je vous remercie aussi pour la bonne compréhension à vouloir collaborer avec nous. C'est temps il y as un fléau très fréquent sur les arnaques que nous essayons de maîtriser et la sachez que c'est pas facile pour nous la police et la cybercriminalité. Nos arnaqueurs ont des arguments très solides qui font qu’ils réussissent par avoir toujours des personnes pour leur soutirer de l'argent.

Ceci dit que Mr AKA JOSEPH n’existe pas il ce fait passé pour un homme exercant dans un emploie de gain et ces collègues sont des hommes dans le groupe lié a Mr Koffi  et certaines femme et tout ceci est une complicité.

Nous sommes sur les traces et nous comptons mettre fin à toutes ces manigances.

Veuillez faire la lecture de l’enquête :

 

ARNAQUE PAR INTERNET - La « MAFIA » de la cybercriminalité en Côte d’Ivoire



 

 

30 JUILLET  par xxxx ???????


 

Se faire passer pour une femme pour gruger les Blancs, ou tout simplement monter un réseau en complicité avec des jeunes femmes pour atteindre le même résultat. Voilà la nouvelle trouvaille des Ivoiriens, qui bénéficient, pour ce travail, de la couverture de certains agents des forces de l’ordre et de certains points de transfert et de retrait d’argent. Zoom sur cette activité illégale qui discrédite la Côte d’Ivoire.

« Tu viens de rembourser le prix de la traite négrière que vos ancêtres nous ont infligée ». En pleurs devant son ordinateur muni d’un Webcam (petite caméra qui permet aux internautes de se voir pendant la connexion), Patrick, un Français handicapé à cause d’un accident de travail (la révélation est de lui), vient de recevoir ce message, qui ruine, sans doute, ses espoirs. Croyant avoir affaire à la dulcinée de son rêve, il s’est rendu compte, après avoir été arnaqué à hauteur de 30.000 euros (19.650.000 fcfa), qu’il avait plutôt affaire à des escrocs en ligne. Ceux qu’on appelle des cybercriminels. La majeure partie de son économie, après que son assurance l’eut dédommagé, est tombée dans l’escarcelle de jeunes ivoiriens qui opèrent depuis la Côte d’Ivoire sur Internet. En affichant lors de leur dialogue la photo de Natacha, une plantureuse africaine aux courbes salivantes sur l’écran de l’ordinateur, ces jeunes ont su attirer la sympathie de Patrick, avant de le piéger. Patrick fait partie de ces « Blancs », en quête de femme sur Internet, et qui finissent par se faire « détrousser » par de jeunes ivoiriens. L’arnaque sur la toile mondiale est devenue une véritable mafia en Côte d’Ivoire. La quasi-totalité des cybercafés sont devenus des repères de cybercriminels qui, à partir de l’Internet, grugent de nombreux Européens. Et le fruit de leur vol se chiffre à des millions, voire des centaines de millions par jour, si l’on s’en tient aux transactions financières opérées par ces escrocs. C’est ce qu’on appelle la cybercriminalité. Selon Dimba Traoré, expert en Ntic, lors d’une interview accordée à notre siège lundi 15 juin 2009, la cybercriminalité est l’ensemble des délits commis contre les systèmes d’informations, et aussi l’ensemble des crimes commis en utilisant l’informatique et l’Internet. « La cybercriminalité a deux aspects : c’est tout ce qui est crime contre les systèmes d’information. Et toutes sortes de crimes commis par l’utilisation des systèmes d’informations », indiquait-il. Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire, par la faute des cybercriminels, est devenue un pays à haut risque. Comme l’illustre d’ailleurs plusieurs commissions rogatoires dont la dernière est celle des Belges, récemment arrivés sur les bords de la lagune ebrié pour des enquêtes. Les escrocs utilisent des méthodes aussi ingénieuses qu’inimaginables pour se faire de l’argent.

Des méthodes ingénieuses pour s’enrichir Selon Souleymane, un jeune ivoirien faisant partie d’un réseau d’escroc qui sévit sur le net, c’est pour « se chercher » qu’ils posent de tels actes. Grâce à l’un de ses amis, il a réussi à entrer en contact avec trois Européens, Maër (Français), Jacques (Suisse) et Gérard (Canadien), se faisant passer, à lui seul, pour trois femmes, toutes différentes les unes des autres. Aujourd’hui, à l’issue d’une communication assidue, en complicité avec de jeunes filles présentes dans des cybercafés, il récolte le fruit de « sa persévérance ». Il a reçu successivement de ses « amants », 500 Euros (327.500fcfa), 800 Euros (524.000 fcfa) et 1500 Euros(982.500 fcfa). Ibrahim, un autre Ivoirien de 23 ans, a arnaqué son « Blanc ». Il explique que sa victime lui a fait parvenir 7635 euros, soit 5.002.025 fcfa, pour l’organisation de son anniversaire. En fait, faisant parvenir à « son amant » un faux passeport avec le cachet du ministère de l’immigration, il lui a fait comprendre qu’il pourrait le rejoindre, si toutefois ce dernier lui expédiait de l’argent pour son billet d’avion. « Son Blanc », à ses dires, est tombé dans le panneau. Sans réfléchir, il a délié la bourse. Ce fléau, qui nourrit une bonne frange de la jeunesse ivoirienne, n’est pas sans conséquences pour la Côte d’Ivoire. Ainsi, au dire de Didier Kla, président de Internet Society, lors d’un atelier de formation à la maison de la presse d’Abidjan, le 21 février dernier, la destination Côte d’Ivoire n’est plus sûre. Sensibilisant les autorités ivoiriennes sur la cybercriminalité, il a révélé les pertes que ce phénomène a causées aux Etats unis. « Aux Etats unis, les cyberterroristes ont engendré des pertes d’environ 7,8 milliards de dollars, soit environ 3500 milliards de fcfa. La cybercriminalité rend les Etats africains fragiles », révélait le président de Internet Society. Il déclare l’impuissance des services de renseignements africains face à l’ampleur du phénomène. Pour comprendre ce fléau qui gangrène l’économie ivoirienne, un cybercriminel a délié la langue sur l’origine du vol en ligne. Selon lui, plusieurs procédés malhonnêtes sont utilisés pour s’enrichir sur le dos d’associations, d’amoureux ou d’hommes d’affaires. « Ce vol organisé » sur le net tire son origine de l’immigration des Africains en Europe. Les immigrés, vivant dans la clandestinité et dans des conditions parfois cruelles, cherchaient par tous les moyens à s’enrichir. Surtout en utilisant des voies illégales : vols de voiture, vols dans les supermarchés en utilisant des cartes de crédits volées etc.. Etant donné que le système technologique a connu une amélioration considérable, de fil en aiguille, les Européens remontaient facilement la filière des voleurs et les mettaient sous les verrous. Mais avec l’avènement de l’Internet et les achats en ligne, les jeunes escrocs vont innover. C’est ainsi qu’avec des cartes de crédit soutirées subtilement à d’honnêtes citoyens, ils effectuent des achats en ligne. Ce phénomène criminel va donner naissance à ce qu’on appelle « le broutage ». Il va prendre de l’ampleur grâce au mouvement du « Coupé-décalé », qui signifie prosaïquement dérober puis détaler avec son butin.

« Coupé-décalé », catalyseur de l’escroquerie Dès lors, les jeunes, croyant à tort ou à raison que les précurseurs de ce mouvement ne sont riches que parce qu’ils s’adonnent à cette activité illégale, vont embrasser ce mouvement. Treichville et Marcory occupent aujourd’hui la tête du peloton en matière d’escroquerie électronique. La tranche d’âge qui s’adonne le plus à ces activités parmi les Ivoiriens se situe entre 12 et 25 ans. Leur seul souci, se payer la tête des Blancs, pour espérer devenir riche. Et rapidement. En plus des Ivoiriens, les Nigérians vont exceller dans le domaine. « Ce sont les Ibo qui maîtrisent le mieux ce système », nous confie une source. L’information est confirmée par Didier Kla : « On parle de plus en plus du phénomène des Ibo ». Les Ivoiriens vont donc tenter de faire comme ces « brouteurs » qui roulent carrosse et qui, par la simple maîtrise de l’outil informatique, deviennent riches. Très riches même. Et notre interlocuteur de soutenir qu’il y a deux types de broutage. Le « Mougou ou Wess » et le « Format ».

« Le Mougou », soutenu par certains agents de transfert d’argent Le « Mougou ou le Wess » est un procédé qui consiste à aller sur des sites de rencontre, s’inscrire en se faisant passer pour une femme, et chercher par cette voie, des amis à travers l’Occident en général, et la France en particulier. « Dès qu’on se fait des amis, on cherche par tous les moyens à soutirer de l’argent aux Blancs qui cherchent femmes (rencontre virtuelle) », soutient Roméo, un jeune de 20 vingt ans. Les sites les plus sollicitées, à cet effet, sont meetic.com, capfriend.com, une rencontreserieuse.com, sunlove.com, 123love.com, FriendFinder.com, pour ne citer que ceux-là. Dès que la cible est repérée, soit les tchatcheurs décident de se rencontrer sur Yahoo messenger, soit sur msn messenger. « Dès que la communication est établie entre le Blanc et toi, tu peux lui faire la promesse de venir chez lui en produisant de faux passeports et de faux visas qu’on lui expédie à travers l’Internet afin qu’il participe au voyage », soutient Isidore, un jeune habitant la commune de Marcory. Il affirme, par ailleurs, que pour réussir le coup, il faut se faire passer pour une femme en présentant une photo de mannequin préalablement cherchée sur Internet, afin de recevoir sans coup férir la somme qui sera expédiée. En ce qui concerne les photos des femmes présentées aux Blancs, quelques sites dont hic5.com, font l’affaire. En sus, des photos d’amies de quartier, qui acceptent de se prêter au jeu, sont également présentées. Et une fois l’argent expédié, le retrait se fait frauduleusement. En effet, pour retirer l’argent subtilisé aux amoureux européens, les « mougousseurs » proposent une agence de transfert et de retrait d’argent à leurs cibles. Dans ces agences, il vous faut remplir certaines formalités pour recevoir l’argent qui vous a été expédié. En plus, un document vous est remis sur lequel vous devez marquer votre nom, prénom, le code d’envoi et la question réponse que votre expéditeur vous donnera au préalable. Puisque l’argent est envoyé sous un pseudo féminin que le destinataire connaît, alors pour le récupérer, les « mougousseurs » photocopient une pièce d’identité normale appartenant à une autre personne. Sur la pièce photocopiée, ils mettent la photo préalablement montrée au blanc sur le net, changent le nom initialement inscrit en y mettant le pseudo, re-photocopient la pièce et la présente à l’agent du guichet. Certains de ces agents, au parfum de « ce vol » organisé, n’hésitent pas à accepter la « re-photocopie frauduleuse », moyennant un pourcentage sur la somme à retirer. « La règle du retrait, c’est 10% sur la somme à retirer, moyennant le silence de la guichetière », soutient une source, témoin de la scène. Même à l’aéroport, la pratique est d’actualité. Un brouteur, ayant reçu 1400 Euro, a rétiré l’argent expédié par son Blanc à l’aéroport Félix Houphouët Boigny, le samedi 15 mars dernier. Mais de plus en plus, les Blancs sont réticents à délier la bourse. Pour leur forcer la main, les escrocs ont désormais recours à des pratiques occultes pour envoûter la cible. Un jeune, habitant la commune de Treichville, nous a confié qu’à chaque fois qu’il doit communiquer avec « son Blanc », il attache son bras droit avec un talisman qui a la vertu, selon lui, d’ôter à son amant toute capacité de réflexion.

Je suis desolés Mr Mme Mle  mais sachez que rien n'est encore perdue.

MR xxxxx ???????

ABIDJAN

COTE D'IVOIRE


 
 



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